- ACTUALITÉ
- 31
- Août
- 2023
Source : La Presse le 11 novembre 2024
Le gouvernement du Québec n’a toujours pas approuvé le règlement adopté par la Communauté métropolitaine de Montréal pour interdire le gaz naturel dans les nouveaux bâtiments qui doit entrer en vigueur en janvier.
Il s’agit d’un délai inacceptable, selon les membres de la Coalition Sortons le gaz. « Ce délai est inacceptable parce qu’il entrave l’action climatique de la CMM et ralentit également l’élan des municipalités québécoises qui souhaiteraient aller de l’avant pour adopter un règlement semblable afin de sortir le gaz des bâtiments ».
L’adoption de ce règlement (…) avait suscité de l’opposition, notamment de la part d’Hydro-Québec qui mise sur la biénergie électricité-gaz naturel pour satisfaire la demande de pointe hiver.
Source : Le Devoir le 11 novembre 2024
Le Devoir présente 5 enjeux à surveiller à 29e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP29), en Azerbaïdjan :
La bonification de l’aide annuelle aux pays en développement, actuellement fixé à 100 G$, pour amorcer la transition énergétique et stimuler les mesures de réduction de GES.
L’augmentation des efforts en matière d’adaptation aux changements climatiques, alors que les politiques de réduction de GES mises en place actuellement nous poussent vers une hausse « catastrophique » de 3,1 °C.
La définition d’un processus de surveillance mondialement reconnu pour l’échange de crédits carbone.
Le déroulement d’une COP dans un pays pétrolier et dirigé par une dictature : après les Émirats arabes unis l’an dernier, la conférence climatique se tient encore une fois dans un pays partisan des énergies fossiles et souvent critiqué pour ses atteintes aux droits de la personne.
La préparation des nouveaux engagements climatiques des pays, dus pour 2025.
Source : Revue Gestion - HEC le 12 novembre 2024
C’est bien connu : les changements ne plaisent pas à tout le monde. Si certaines personnes se sentent irritées ou inconfortables face à ces transformations, d’autres vont tout simplement y résister. Pour surmonter cette réaction, encore faut-il en comprendre les sources.
Parmi les sentiments qui incitent les travailleurs à montrer certaines réticences face aux transformations, la peur arrive au premier rang. « Le changement, ça décoiffe toujours un peu. Devant l’inconnu, on craint de perdre quelque chose. » - Caroline Ménard, présidente et associée chez Brio, boutique de management
Pour réussir une transformation, il faut s’intéresser aux dynamiques d’équipes et s’assurer que les leaders informels, ou d’opinion, sont d’accord à l’idée de mettre l’épaule à la roue. Dans tous les cas, les gestionnaires ont tout avantage à ouvrir la porte à la discussion, avec ouverture et empathie.
Source : La Presse le 5 novembre 2024
Selon un sondage de Pollara Strategic Insights, 24 % des employés canadiens souffrent d’épuisement professionnel, un nombre en hausse de 3 % par rapport à l’année précédente, rapporte le magazine d’affaires et de technologieThe Logic. Ces résultats font écho à d’autres récentes enquêtes et plusieurs s’inquiètent de l’impact sur la productivité canadienne. Les experts attribuent cette fatigue à la transition rapide vers les nouvelles technologies, au travail à domicile, à l’inflation et à la crise du logement. Lorsque les gens ont le sentiment de ne pas pouvoir progresser financièrement, leur motivation à travailler a tendance à s’éroder, explique The Logic.
Tendance inquiétante allant fortement à l’encontre de l’EDI…
Source : Journal de Montréal le 11 novembre 2024
Une vague de haine misogyne a commencé à déferler sur les médias sociaux lors de l’élection de Donald Trump, un mouvement qui peut faire craindre une sorte de radicalisation de jeunes hommes, même du côté du Canada
La victoire à l’élection présidentielle de Donald Trump mardi dernier est donc venue « galvaniser » un mouvement qui existe déjà depuis plusieurs années, selon David Morin, de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent
Au Québec et au Canada, ce mouvement masculiniste serait loin d’être majoritaire, d’après l’expert.
« En revanche, les données montrent qu’un certain nombre de jeunes hommes adhèrent de plus en plus à ce type de discours », a-t-il tout de même nuancé.
Nos
grands
partenaires