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L’intrapreneuriat d’impact, ou comment générer l’innovation positive de l’intérieur
DURABLE ECONOMIC DEVELOPMENT
Par

Comité Affaires publiques JCCM

Des avancées sociétales en matière d'équité, de diversité et d'inclusion (EDI) ont marqué ces dernières années. Malgré tout, certaines cultures au sein d’entreprises et d’organismes de tout genre sont tenaces et peinent à suivre le rythme de cette mouvance. C’est du moins le principal constat du mémoire de la Jeune Chambre de commerce de Montréal (JCCM) dévoilé le 6 février dernier intitulé Briser de nouveaux plafonds de verre : pour un milieu du travail à l’image de la relève montréalaise.

Fait no 1 : Stress, fatigue et anxiété persistent dans le quotidien des travailleurs et travailleuses.

Selon un sondage Léger :

  • 60 % des jeunes professionnel.le.s ressentent chaque semaine de la fatigue et de l’épuisement ;

  • 44 % se sentent déprimé.e.s et éprouvent de l’anxiété.

Une situation préoccupante, à laquelle il est essentiel de répondre par la promotion d’une culture organisationnelle bienveillante et propice à la sécurité psychologique.

Et s’il nous fallait intégrer davantage de discussions sur dans nos milieux de travail ?

Tous les membres d’une équipe, quel que soit leur rang hiérarchique, devraient avoir la possibilité d’exprimer leurs opinions en toute sécurité, sans crainte de représailles.

Loin d’être acquis, il s’agit pourtant là d’un ingrédient essentiel à la créativité, à l’engagement et au bon équilibre psychologique des équipes.
Par exemple, chez Énergir, une formation sur les biais inconscients a récemment permis aux employé.e.s d’être mieux sensibilisé.e.s à l’importance d’interagir en toute conscience et avec ouverture.

Une relève qui fait toujours face à des plafonds de verre

Encore aujourd’hui, 39% des Québécois.e.s sont d’avis que le fait de révéler son homosexualité au travail peut nuire à leur carrière professionnelle1. Même son de cloche pour les nouveaux et nouvelles arrivant.e.s : une personne immigrante à Montréal est 8 fois plus à risque de déclarer avoir été victime de discrimination à l'emploi qu'une personne non immigrante.2

Par conséquent, 66 % des membres de la JCCM appartenant à un groupe sous-représenté sondées par la firme TACT3 affirment sentir qu'ils font face à un plafond de verre les empêchant d'accéder à des niveaux supérieurs dans leur organisation.

Face à ce constat, la JCCM formule dans son mémoire des recommandations concrètes pour favoriser la transition inclusive du milieu des affaires.

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