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Revue de presse - Comité affaires publiques
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE DURABLE
Catherine Gingras et Philippe-Antoine St-Pierre Gilbert
Par

Catherine Gingras et Philippe-Antoine St-Pierre Gilbert

JCCM

Chargé.e.s de projet bénévole du comité affaires publiques

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Transition socioécologique

Alimenter la croissance de l’intelligence artificielle sans nuire au climat est une priorité du G7

Source : La Presse, 9 février

« Nous travaillons avec nos partenaires du G7 afin de nous assurer que les innovateurs auront accès à de l’énergie propre et fiable pour alimenter l’IA sans nuire à la lutte contre les changements climatiques »

Justin Trudeau a annoncé que l’acheminement accru d’électricité pour soutenir la croissance de l’intelligence artificielle (IA) sera une priorité du G7 en 2025, alors que le Canada assumera sa présidence. Il insiste sur l’importance de concilier cet enjeu avec la lutte contre les changements climatiques et préconise le développement de l’énergie nucléaire. Il évoque aussi la nécessité de réduire la consommation énergétique de l’IA. Trudeau participe à un sommet à Paris sur l’IA, où il met en avant l’expertise canadienne en gouvernance de cette technologie et son engagement à jouer un rôle clé sur la scène internationale.


Des entreprises «ont peur» de parler d’environnement

Source : Le Devoir

« Avec l’écoblanchiment, vous exagérez vos vertus environnementales. Avec l’écosilence, vous tenez ça mort », résume l’expert.

Malgré la tendance défavorable, des entreprises jugent qu’il est important de porter attention aux risques environnementaux. « Elles répondent à ces risques, mais elles ont peur d’en parler. »

Les sociétés auraient intérêt à se concentrer sur certaines priorités ESG […]. Une approche plus ciblée aurait un plus grand impact, selon lui.

Les sociétés devraient agir là où leurs interventions seraient les plus efficaces, plaide M. Koskinen. Il donne l’exemple des entreprises canadiennes qui œuvrent dans le secteur des ressources. Leurs activités ont un grand impact sur les Premières Nations. Les efforts de réconciliation avec ces communautés sont l’un des enjeux où elles peuvent faire une différence, donne-t-il en exemple.

Le projet de promenade fluviale débouche

Source : La Presse

C’est maintenant officiel : la piste cyclable de la Voie maritime du Saint-Laurent sera remise à neuf dans les prochains mois.

La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) s’est entendue avec la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent, l’organisme fédéral responsable de cette longue bande de terre sise entre Montréal et sa Rive-Sud.

La dizaine de kilomètres reliant l’estacade du pont Champlain à Sainte-Catherine, sur la Rive-Sud, dont l’asphalte est « très détérioré », seront réasphaltés. […] Sera aussi réalisée la « modernisation » du tronçon est, entre le parc Jean-Drapeau et l’estacade, actuellement en poussière de pierre.

Les travaux devront être réalisés entre le « dégel et le 15 novembre [2025] », détaille Nicolas Milot, directeur de la transition écologique et de l’innovation à la CMM.

Développement des compétences

Québec débranche un important programme de bourses d’études plus tôt que prévu

Source : La Presse, 6 février

«En coupant ces bourses, la ministre prouve que la précarité étudiante est la dernière de ses préoccupations»

Québec met fin plus tôt que prévu au programme de bourses Perspective Québec, lancé en 2021 pour attirer les étudiants vers des domaines en pénurie de main-d’œuvre, comme le génie, la santé et l’éducation. Offrant jusqu'à 2500 $ par session universitaire et 1500 $ pour certains programmes collégiaux, ce programme devait durer jusqu’en 2026 mais prendra fin après l’hiver 2025 en raison d’un effet insuffisant sur les inscriptions et d’un resserrement budgétaire. Une clause protégera les étudiants déjà inscrits, et Québec prévoit économiser 100 millions sur cinq ans. La décision suscite des inquiétudes dans le milieu académique.

Équité, diversité et inclusion

L’ÉDI a-t-il sa place dans les grandes entreprises?

Source : Radio-Canada Ohdio, 6 février

Maryse Potvin, sociologue et professeure à l'UQAM, et Sana Arfaoui, stratège en ÉDI-RSE, discutent de la décision d'Alphabet, maison mère de Google, de mettre fin à ses programmes de diversité dans le recrutement, une mesure qui s'aligne sur les politiques du gouvernement de Donald Trump. Elles examinent les implications potentielles de cette tendance sur les politiques d'équité, de diversité et d'inclusion (ÉDI) au Québec.


Montréal fusionne trois bureaux de commissaires, dont celui de la lutte contre le racisme

Source : Le Devoir

La Ville de Montréal va fusionner le Bureau de la commissaire à la lutte au racisme et aux discriminations systémiques avec celui des relations avec les peuples autochtones et celui de l’itinérance pour créer un nouveau « Bureau des commissaires », a appris Le Devoir.

C’est dans un objectif d’« accélérer l’atteinte des objectifs » liés à la lutte contre le racisme et les discriminations systémiques, aux relations avec les peuples autochtones, à l’itinérance et à la langue française que la Ville « ajuste sa structure organisationnelle »


Entrepreneuriat, intrapreneuriat d’impact et repreneuriat

Il existe des moyens pour réussir à transformer et élever notre économie ensemble

Source : Journal de Montréal, 7 février

«Il faut absolument sensibiliser dès le plus jeune âge sur ce qu’est réellement l’entrepreneuriat. Comprendre et différencier l’entrepreneuriat innovant du repreneuriat, ou encore présenter les enjeux et risques inhérents à ce choix de carrière serait déjà un bon départ.»

Pierre Graff, président-directeur général du Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec met en lumière les faiblesses de l’économie québécoise, exacerbées par les tarifs américains, et propose neuf mesures pour renforcer sa compétitivité.

«25 percent», l’application pour savoir si un produit est canadien

Source : Les Affaires

Deux amis qui vivent à Montréal ont créé en une semaine une application qui permet aux citoyens de connaître la provenance d’un produit qui les intéresse.

L’application peut être téléchargée avec un téléphone intelligent au www.25pct.ca ou être utilisée directement sur ce site web. Il suffit d’avoir recours à son appareil pour lire le code-barre du produit et déterminer sa provenance.

Avis aux intéressés, les deux hommes cherchent des partenaires qui pourraient les aider à mieux déterminer si un produit est fait ici ou non.

Une IA d’ici pour contrer les tarifs

Source : Les Affaires

La jeune pousse québécoise Civision […] a mis au point une intelligence artificielle qui permet de faire du maillage entre les entreprises d’ici et qui pourrait aider à remplacer des clients ou fournisseurs américains, et surtout éviter des tarifs douaniers.

«On utilise l’intelligence artificielle pour identifier les fabricants locaux qui produisent les mêmes produits qui sont aujourd’hui importés. Par exemple, s’il y avait des contre-tarifs, pour une entreprise qui importe des tuyaux en plastique des États-Unis, nous sommes capables de lui dire quelles entreprises québécoises en fabriquent aussi. Cela permettrait de trouver une alternative économiquement intéressante à la fois pour les entreprises québécoises importatrices et fabricantes, mais aussi pour l’économie du Québec», explique Nicolas Iglesias.


Bien-être au travail


Sur les traces des responsables du bonheur en entreprise

Source : Radio-Canada, 9 février

«Il y a toujours le cliché du responsable du bonheur au travail, qui met une table de ping-pong ou un toboggan dans ses locaux. C’est une réalité, ça existe. Mais si on n'a que ça, bon courage pour la suite!»

Depuis une quinzaine d’années, les entreprises intègrent des responsables du bonheur pour améliorer le bien-être des employés et favoriser leur rétention. Ces postes, initialement créés par des géants du numérique comme Google, se sont étendus à divers secteurs, mais certains experts critiquent leur réelle efficacité, y voyant un outil de productivité déguisé. Geneviève Nadeau, directrice de la bienveillance chez Pacini, illustre cette tendance en mettant en place des initiatives pour améliorer l’ambiance de travail et la satisfaction des employés. Toutefois, certaines entreprises, comme Ubisoft, ont abandonné ce rôle, préférant intégrer le bien-être des employés dans les ressources humaines ou d’autres services internes.

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